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Lu aujourd’hui « Je t’ai bue sans sucre, mon amertume » de Titi Robin chez Riveneuve, ne le connaissais pas et me prépare, je n’aime pas rencontrer des auteurs sans les avoir lus.

Sois tendre,
Deviens rivière

Sur la chemise,
Une tache brune,
De ce petit café bu hier midi,
Quand cette vision m’est venue,
Solitaire,
Sans pudeur ni projet,
Sans aile,

Et je l’ai bue sans sucre,
Ton amertume.

J’aime bien ce qu’il fait musicalement, pareil, ça a été une découverte.

Un peu comme ce vendredi, au Théâtre chez les Thénardier à Montreuil, grand plaisir à rencontrer le maître de maison, Sarclo qui officie aussi dans la chanson, et de revoir les copains des Toboggans Poétiques. On y donnait notre cabaret presque mensuel. Bonne soirée avec des pépites comme toujours, des échos entre nos textes, le sème de l’eau qui coulait de l’un à l’autre, celui de la vacance, ou celui de la langue, comment elle se creuse dans la glossolalie de Christine Schaller. C’était beau. J’y ai dit des extraits de ma Gonzoconférence en préparation, rien de porno, pour ceux que le mot intrigue, juste un texte décalé. Ça fonctionne apparemment.

Et fait une grande balade dans les vignes.


Je viens de rater Sarclo qui passait à Doué-la-Fontaine, zut. (ajout du 13 janvier).